La route, artère vitale de l’économie et symbole de la mobilité, est au cœur du développement de toute nation. En République Démocratique du Congo, avec son réseau de plus de 153.000 km, son état est un enjeu stratégique. Face à l’immense défi de l’entretien, le FONER (Fonds National d’Entretien Routier) est la pierre angulaire de la réponse gouvernementale. Depuis trois ans, son Directeur Général, Pierre Bundoki, mène une réforme profonde et saluée pour moderniser l’établissement. Une vision claire, une gestion assainie, une transparence inédite et le recrutement de compétences ont redonné son souffle à l’institution. Pourtant, ces avancées dérangent. Une cabale, née d’intérêts particuliers menacés par la fin des privilèges et de l’opacité, tente de s’opposer à ce vent de modernité. En vain. Le cap est maintenu : transformer le FONER en un fonds de troisième génération et viser l’excellence avec une certification ISO 9001, pour que les routes congolaises deviennent enfin le véritable..